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Articles by Randy Kilgore

LA PARABOLE DE LA PIQÛRE

Je me rappelle encore l’air choqué de Jay Elliott lorsque, il y a près de cinquante ans, je suis entré chez lui en coup de vent par la porte avant poursuivi par un essaim d’abeilles. En ressortant aussitôt par la porte arrière, j’ai constaté que j’avais semé les abeilles… dans la maison de Jay ! Peu après, celui-ci en est sorti à son tour au pas de course par la porte arrière, avec à ses trousses l’essaim que je lui avais apporté.

LA PARABOLE DE LA PIQÛRE

Je me rappelle encore l’air choqué de Jay Elliott lorsque, il y a près de cinquante ans, je suis entré chez lui en coup de vent par la porte avant poursuivi par un essaim d’abeilles. En ressortant aussitôt par la porte arrière, j’ai constaté que j’avais semé les abeilles… dans la maison de Jay ! Peu après, celuici en est sorti à son tour au pas de course par la porte arrière, avec à ses trousses l’essaim que je lui avais apporté.

ANECDOTES OU AVENTURES ?

Mon grand-père aimait beaucoup raconter des histoires, et j’aimais énormément l’écouter. Papi avait deux genres d’histoires. « La fable » était une histoire aux accents de vérité, mais qu’il modifiait chaque fois qu’il la racontait. « L’aventure » était une histoire qui s’était réellement produite et dont les faits ne changeaient jamais d’une fois à l’autre. Un jour, mon grand-père m’a raconté une histoire qui me semblait trop bizarre pour être vraie. « Fable ! » ai-je alors déclaré, mais mon grand-père a insisté sur sa véracité. Même si son récit ne variait jamais dans ce cas-là, je ne parvenais tout simplement pas à y croire, tellement il était inhabituel.

ANECDOTES OU AVENTURES ?

Mon grandpère aimait beaucoup raconter des histoires, et j’aimais énormément l’écouter. Papi avait deux genres d’histoires. « La fable » était une histoire aux accents de vérité, mais qu’il modifiait chaque fois qu’il la racontait. « L’aventure » était une histoire qui s’était réellement produite et dont les faits ne changeaient jamais d’une fois à l’autre. Un jour, mon grandpère m’a raconté une histoire qui me semblait trop bizarre pour être vraie. « Fable ! » aije alors déclaré, mais mon grandpère a insisté sur sa véracité. Même si son récit ne variait jamais dans ce caslà, je ne parvenais tout simplement pas à y croire, tellement il était inhabituel.

LE JOUR OÙ PAPA RENCONTRA JÉSUS

Mon grand-père, mon père et ses frères étaient tous des hommes durs qui, pour des raisons évidentes, n’aimaient pas les gens qui « leur parlaient de la foi avec insistance ». Lorsqu’on a diagnostiqué un cancer fulgurant chez mon père, Howard, je me suis senti poussé à saisir toutes les occasions pour lui parler de l’amour de Jésus. Chaque fois, il mettait fin à la discussion par un refus poli, mais ferme : « Je sais ce que j’ai à savoir. »

LE KRASH

Après la Crise de 1929, le marché boursier a mis de nombreuses années à regagner la confiance des investisseurs. Puis, en 1952, Harry Markowitz a suggéré à ces derniers de diversifier leur portefeuille en achetant des actions dans plusieurs sociétés et industries. Il a élaboré une théorie de composition de portefeuille venant en aide aux investisseurs en période d’incertitude. En 1990, cette théorie a valu à Markowitz et à deux autres personnes le Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel.

DES PROMESSES ENCORE GARDÉES

Dans le Proche-Orient de l’Antiquité, le traité conclu entre un supérieur (un seigneur ou un roi) et un inférieur (un de ses sujets) portait le nom de traité suzerain. La cérémonie de sa ratification exigeait que l’on sacrifie des animaux et qu’on les coupe en deux. On plaçait alors au sol les moitiés d’animaux en rangées, pour former une allée. En marchant entre les moitiés, le suzerain déclarait publiquement qu’il garderait l’alliance et que, s’il négligeait de tenir parole, il deviendrait semblable aux animaux sacrifiés.

APPRENDRE À AIMER

Lorsque Hans Egede est allé au Groenland comme missionnaire en 1721, il ne connaissait pas l’inuit. Il se montrait souvent dominant, et il ne lui était pas facile de traiter les gens avec douceur.

AIMÉ POUR AIMER

Même s’il risquait sa vie chaque jour qu’il passait dans l’Allemagne d’Hitler, Dietrich Bonhoeffer y est resté. J’imagine qu’il désirait aller au ciel autant que l’apôtre Paul l’avait désiré, mais il savait que Dieu préférait pour l’instant qu’il reste là où l’on avait besoin de lui (Ph 1.21). C’est ce qu’il a fait. En tant que pasteur, il a tenu des cultes d’adoration clandestins et il a résisté au régime machiavélique d’Hitler.

LE STYLO SILENCIEUX

Harry Truman, ancien président des États-Unis, s’était donné une règle de conduite : toute lettre qu’il écrivait sous le coup de la colère devait rester sur son bureau pendant vingt-quatre heures avant d’être postée. Si, au terme de cette « période de recul », ses sentiments n’avaient pas changé, il expédiait la lettre. À la fin de sa vie, Truman avait un grand tiroir de son bureau rempli de lettres jamais postées.